Un studio de 20 m² qui a tout d’un grand.
Trois passions, une habitation ! Lorsque le propriétaire acquiert cette surface de 20 m², ce qui lui plaît, c’est sa situation : au calme, dans une petite impasse pavée baignée de lumière, grâce à la faible hauteur des immeubles alentours. Il ne manquait plus qu’une petite rénovation pour en faire un repaire idéal.
Le maître des lieux est un passionné de lecture, d’art et d’art culinaire. Il a donc aménagé son appartement en conséquence.
L’appartement est situé dans l’une de ces impasses pavées dont le vingtième arrondissement de Paris regorge. Elle est idéalement cachée au milieu d’anciennes maisons d’ouvriers ou d’ateliers d’artisans et offre à la fois le calme, la verdure et la lumière.
Les travaux dans l’appartement ont révélé d’anciennes poutres qui donnent tout son charme à la pièce. Le propriétaire a préféré installer une banquette sur mesure afin d’exploiter au mieux l’espace le long du mur.
L’espace cuisine, avec son large plan de travail en granit noir, est l’un des éléments clés de cet intérieur. Pour prolonger la touche campagne de l’impasse, on dîne ici sur un ensemble table et chaises pliantes en bois brut.
La hauteur des étagères permet de dégager de la place pour accrocher des tableaux et d’utiliser la banquette comme une méridienne.
Une succulente dans un pot en argile posé sur une plaque en ardoise, voilà une manière simple et esthétique d’intégrer une plante dans son intérieur…
Une étagère sur mesure fait la liaison entre le séjour et la chambre.
Celui qui dort sous cette fenêtre pourra goûter un réveil avec les rayons du soleil !
La salle de bain est à l’image du reste de l’appartement, efficace. Une étagère a été installée sous la vasque : de grandes boîtes en plastique de chez Muji permettent de ranger le linge de maison et les serviettes.
Ici, on a remplacé la règle du “dernier coup d’oeil dans le miroir” par un “dernier coup d’oeil à la litho japonaise” accrochée au mur. On retrouve un nouvel élément fait sur mesure. Plus haut qu’un meuble classique, il fait office de console, montrant que ce genre d’élément n’est pas réservé qu’aux grandes entrées haussmanniennes !
Photographies : Astrid Templier
Texte : Mathilde