Accueil » Reportages » Sous le signe du triangle : 60 m² à Paris

L’appartement est situé à Paris, dans un passage datant de la fin du XIXe siècle.
Le couloir, qui épouse la forme de la cage d’escalier, dessert les différentes pièces : à gauche, le dressing, au milieu, la cuisine et à droite, la salle d’eau. Autrefois étroit et fermé, il est désormais plus ouvert et lumineux.
La salle d’eau, épurée, n’en est pas moins fonctionnelle avec son grand placard qui dissimule la buanderie et le ballon d’eau chaude.
On y retrouve la forme triangulaire. De manière générale, toutes les portes des pièces de l’appartement s’ouvrent sur des triangles afin d’optimiser l’espace.
La suspension Smithfield de Flos rouge confère du caractère à la cuisine en créant un effet de contraste avec le bois et les tons crème.
La cuisine, qui se situait auparavant à la place du grand dressing, a été déplacée pour être accolée à la pièce de vie. Au besoin, la cloison séparant les deux espaces peut être fermée.
La décoration célèbre les années 1970 au travers de pièces de mobilier soigneusement choisies, à l’image de cette lampe champignon orange.
Derrière le canapé, une étagère ajourée permet d’amener habilement la lumière jusque dans la partie dressing, tout en créant un effet visuel original et percutant.
Le couloir, qui dessert également la chambre et le grand dressing, se termine en triangle afin d’amener une nouvelle lecture de l’espace.
La pièce qui abritait auparavant la cuisine a été convertie en grand dressing.
Dotée d’une belle hauteur sous plafond, la chambre fait valoir son caractère haussmannien. Elle donne sur le tranquille passage, un luxe à Paris !
Au-dessus des portes, les volumes triangulaires sont utilisés comme espaces de rangement. Le luminaire Foglio chromé de Flos amène une touche seventies, en rappel à la décoration de la cuisine et du salon.
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